Si les requins sont rapides (100 km.h-1 pour le requin mako), ils doivent en particulier cette vélocité à leur peau. L’eau s’engouffre dans de micro-rainures qui engendrent de minuscules tourbillons ou remous verticaux, lesquels maintiennent l’eau près du corps de l’animal. L’effet de résistance du fluide est restreint. Le phénomène est connu en physique sous le nom d’effet riblet.
La biomimétique s’intéresse de très près à la peau du requin.